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talkative, yes she is

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Lyzobeth Scarlett Kennedy
Lyzobeth Scarlett Kennedy

LYZO' don't wanna be torn

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MessageSujet: talkative, yes she is talkative, yes she is EmptyDim 2 Mai - 12:48


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      tony &&. lyzobeth
      Sometimes in our lives
      We all have pain
      We all have sorrow
      But if we are wise
      We know that there's always tomorrow


.


Lyzobeth n’était pas particulièrement le genre de fille a trainer dans la rue , a aller acoster n’importe qui ou encore discuter avec des inconnus…Il faut dire quand on vit dans les quartiers riches de Boston et qu’on a papa qui paye tout, qu’on est une élève apprécié de son lycée et tout ce qui suit, on est sur de se retrouver avec quelqu’un de plus orgeuilleux que la moyenne …Lyzobeth avait de l’orgeuil et une dose d’egocentrisme ,certes, être le bébé de la famille jouait aussi…cependant certaines epreuves de la vie lui avait apprit a relativiser, le décés de sa mère et ses experiences pour le moins difficile a l’école…Etre le bouc emissaire de l’école primaire, c’est difficile, entendre les autres enfants se moquer de vous c’est dur, Lyzobeth était gentille quand elle était enfant et excellente élève, cela n’avait pas plu dans son pensionnat anglais et ce n’est qu’arriver a Boston qu’elle excerça une sorte de vengeance en s’affirmant et en devenant une sorte de célébrité scolaire, par rapport a ses nombreuses activités comme le chant et le théatre et surtout aussi ses conaissances parmis les plus populaires de l’école…Comment une fille pareil peut-elle un jour s’asseoir sur un banc a coté d’un habitant des rues et lui parler de sa vie…elle avait l’impression d’être completement allumé quand elle faisait ça, la première fois, elle se soupsonnait d’avoir un peu bu…Lyzobeth detestait être seule, elle ne supportait pas le fait de devoir n’être qu’avec elle-même, quand elle était seule, Lyzobeth se lamantait, quelque chose qu’elle detestait, elle n’était pas la fille la plus heureuse du monde mais elle était loin d’être la plus malheureuse et avait eu peut être moins de chance sur certaines choses qui l’avait marquer dans le passé, mais elle avait aussi su être chanceuse sur d’autres, elle ne s’en sortait pas si mal a l’heure qui l’était, elle avait un travail, mieux encore, elle vivait quasiment de sa passion pour la musique…bien sur elle se serrait vu autre part que pianiste pour par exemple un disque de cantique ou choriste pour un de gospel mais c’était un debut comme un autre, avant que ce soit elle qui soit devant le micro et qu’elle chante ce qu’elle veut, elle était fière de son travail, elle avait peut être une vie amoureuse qui tournait plutôt autour de vagues flirt qui se finissait souvent dans un lit et sans numero de téléphone , mais elle était jeune, pour l’instant ça lui convenait, elle avait parfois envie de faire comme Spencer , choisir quelqu’un avec qui elle voulait essayer de batir quelque chose, après tout ses parents avaient a peu prés son age quand ils se sont rencontrer, mais (en partie poussée par son amie Ashleigh qui adorait user et abuser de ses charmes auprés de la gente masculine) elle continuait de « s’amuser »…Puis question amitié, elle était egalement tranquille, elle aimait ses amis, ses amis l’aimait, elle en avait de merveilleux. Quesqu’y poussait donc Lyzobeth a souvent s’asseoir sur ce banc et commencer sa philosophie (très personnelle) de la vie et a raconter ses journées , quesqu’y la poussait a s’asseoir et a dire « et merde, les mecs sont chiant, ça ma rappelle mon père quand il me disait que… » ou « je deteste les cours, enfin CE cours, c’est pas des cours en plus, c’est poser l’arrière train sur une chaise et voir qui aime quoi…t’appelle ça des cours toi ? », au fond elle le savait mais ne voulait pas l’admettre, elle avait envie de parler a quelqu’un de diffèrent de ceux qu’elle conaissait, tout ses amis étaient plutôt fortuné ou de milieu assez aisé, elle avait decidé de voir ce qu’en penseait l’autre partie du monde, cette partie moins chanceuse mais qu’elle avait envie d’entendre, cette partie que representait Tony Wilkinson.
Ce matin la, comme bon nombre de samedi, Lyzobeth faisait du lèche vitrine tout en mangeant son dejeuner, c’était plutôt courant chez elle, même si detestait ça, c’était une sorte de punition personelle, regarder les vetements, les objets dans des vitrines et se dire qu’elle allait encore devoir economiser….economiser était une mot qui jusqu'à ses 17 ans, n’était reservé qu’aux journalistes televisuel et aux films…maintenand il avait prit tout son sens, elle soupira après être passé devant une jolie robe qu’elle aurait tant aimer s’offrir puis se tourna et remarqua ce visage connu, il était assis sur ce banc, un banc ou elle l’avait déjà vu auparavent, depuis les mois qu’elle le croisait…C’est vrai qu’on pouvait compter ses « discutions » avec lui en mois même si ce n’est que depuis reçamment qu’elle entend des reponses a ce qu’elle dit. Il avait fallu qu’elle parle d’ailleurs de musique pour pouvoir en avoir une, et pas n’importe quel musique : Beethoven, et elle avait du le comparé a Chopin, a la fin elle avait quand même finit par dire « bon ok, t’as peut être raison », qui voulait clairement dire « bon t’as tout a fait raison en faite »…Lyzobeth s’avança vers le banc et s’asseya tout a fait naturellement, presque dans un geste automatique, elle coupa le plus gros bout de son sandwich et le tendit a Tony, tout en regardant autour d’elle, la journée était plutôt sympathique, pas trop chaude mais pas trop fraiche, un printemps tout a fait acceptable. Lyzobeth avait parfois l’impression d’avoir tout raconté a Tony mais d’un autre coté, a chaque fois elle se rendait compte qu’elle sautait les grandes lignes, comme si elle lui racontait qu’elle s’était levée tôt et n’arrivait pas a dormir le jour même mais qu’elle ne penseait pas a dire les grandes lignes comme qu’elle a été dans un pensionnat, voir même qu’elle est anglaise (bien que si elle se souvenait bien, elle s’était déjà trahit la dessus , utilisant son expression favorite : « C’est pas comme nous les anglais… »), aujourd’hui, elle ne savait pas vraiment par ou commencer, etrange elle avait le syndrome de la page blanche ? Enfin sauf que la ce serrait plus la parole…

« Comment va tu ? moi ça va…tu veux un bout (elle tendit davantage son sandwich), j’ai bien aimer l’emission de radio hier, je trouve qu’ils se surpassent de jour en jour, quoique certains morceaux passer entre 21h00 et 21h30 étaient un peu juste mais bon après tout, tant que ça se vend , beaucoup ecoute… »

Elle savait que c’était etrange de parfois parler de sa vie avec quelqu’un qui est typiquement son opposé mais surtout n’avait pas tout ce qu’elle avait et qui lui-même paraissait etrange. Lyzobeth faisait attention a ne pas lacher de « cette robe est trop belle , je la veuuuux » mais elle sentait qu’elle pouvait parler du reste…
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Tony Wilkinson
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MessageSujet: Re: talkative, yes she is talkative, yes she is EmptyDim 2 Mai - 22:51

    Tony était dans le centre pour SDF, il devait être encore tôt, du genre 18 heures, car les emploies étaient tout là. Tony était juste passé pour prendre une douche, enfin s’il pouvait. En général les douches étaient toutes prises. Il fallait toujours attendre des heures et des heures, les sans abris n’étaient pas si pourris que le pense les gens. Certes, ils ne prenaient pas des douches tous les jours, ils avaient des vêtements plutôt miteux et un peu sale mais ils savaient quand même la définition du mot hygiène. Tony était du genre très maniaque sur la propreté. Certes il ne pouvait pas faire sa toilette à fond régulièrement mais il essayait autant que possible d’être laver, surtout les parties sensibles et le visage. Ce soir, il avait décidé d’attendre même très tard pour avoir une douche. Il savait que la plus part des personnes partaient rapidement pour trouver un habit ou coucher. Tony avait donc plus de chance d’avoir une douche rapidement et avec un peu de chance il aurait même le droit à rester plus longtemps sous l’eau. Tony se présenta donc au poste pour avoir un ticket pour les sanitaires. L’homme avec un demi-sourire lui tendit le billet avec le numéro, il lui donna un bout de savon et un gant. Tony vit dans son regard que le garçon aurait aimé être très loin d’eux, à un tout autre endroit. Tony prit avec dédain ce que lui tender le jeune homme qui faillit dire au SDF d’être plus doux mais vu le regard qu’il lui jeter, ce dernier se ravisa. Tony se dirigea ensuite vers la salle d’eau et prit place dans la petite queue présente. Il était ravi de son idée, il se félicitait intérieurement d’avoir choisi un tel moment pour venir. En effet, il y avait une famille, deux prostituées, un homme d’une cinquantaine d’année et lui. Chacun avait droit à 15 minutes d’eau. Les enfants devant pleuraient car ils ne voulaient pas aller sous la douche froide, ils préféraient rester sales et leur mère essayait de leur expliquer qu’ils devaient être propres, qu’ils risquaient d’être malades. Le plus grand répondit méchamment sa mère en disant qu’ils attraperaient la mort en se douchant si tard. La mère baissa la tête et le père décolla une gifle à son fils. Tony serra les dents en pensant à lui. Quand il était plus jeune, quand il croyait encore qu’il pourrait se sortir de la merde, il s’était fait plusieurs fois agresser et frapper. Depuis, il avait apprit à se défendre. Un jour, il avait prit des coups, beaucoup de coups. Une bande de jeune s’en était prit à lui car il était vieux et sans défense. Ce qu’il ne savait pas c’est que Tony avait un bon croché du droit, malheureusement contre tant d’homme il ne put pas faire grand-chose. Il se fit passé à tabac et laissait pour mort sur un trottoir. Il s’en était sorti parce qu’il ne voulait pas mourir, il ne voulait pas mourir avant d’avoir put rejouer sur un violon avec toutes ces cordes. C’était son plus grand rêve, de pouvoir un jour jouer le sonate pour violon au ré mineur. Tony avait des rêves très simple, il ne rêvait pas de retrouver une vie normal, il ne rêvait pas de manger à sa faim tout les jours. Il n’était pas du genre à vouloir se sortir de la rue, il était bien dans la rue pour un tas de raison qui ne sont pas toute bonne à entendre. Il était très enfantin dans sa façon de penser, il voulait, il vivait pour jouer de la musique et son rêve c’était d’en jouer sur un instrument parfait. Enfin pour l’instant son rêve était loin. Il secoua la tête pour revenir à lui et vit que la famille avait finalement eut une place.
    C’est alors qu’arriva un garçon, un garçon de 25 ans environs. Un de ceux qui dealer dans la rue, qui jouer avec les prostituées et qui emmerder bien profond la police. Un chieur comme pas deux, qui foutait le bordel partout ou il passait. Tony savait que ces gars là, il fallait les ignorer pour que tout se passe bien. Sauf que ce soir, ce connard avait décidé de prendre la place d’une des prostituées. Il se mit d’abord à la toucher en lui disant des grossièretés. La jeune femme le repoussa mais l’homme n’était pas d’humeur à jouer. Il revient à la charge et lui proposa d’aller ensemble dans les douches, qu’il lui ferait sa fête. Tony voyait que la pauvre femme n’était pas à l’aise et voulait partir, pas de chance la racaille n’était pas de cet avis. Tony intervient, ne pouvant supportait de voir une femme mal mener ainsi.

    Tony : Hey…Tu ferais mieux de la lâcher !!! Ce n’est pas des manières.

    Homme : Des manières, c’est toi qui fais des manières ! Mêle-toi de ce qui te regarde vieux con.

    Tony ne put en entendre plus. Il se planta devant l’homme qui monta dans une rage folle en une fraction de seconde. Tony put éviter le 1ère coup de poing mais pas le coup de genou qui suivit. Malgré la douleur de son ventre, il se jeta sur l’homme à corps perdu dans une bataille pour la justice. Les poings serraient, les muscles crispaient, tout son corps prêt à frapper, à se défendre. Tony prit des coups mais il en rendait autant. La violence de la scène fit fuir les deux femmes qui attendaient, les bruits de crâne fracassaient contre le sol et les grognements des deux hommes donnaient un caractère assez impressionnant et rude. Heureusement qu’un gardien arriva pour séparait les deux protagonistes. Le jeune homme qui n’avait pas prit par au confit, témoigna en faveur de Tony qui put rester pendant que l’autre se fit jeter.

    La prochaine fois, sale chnoque je ne te raterais pas !


    Tony se releva difficilement. Il avait l’arcade ouvert qui saigner abondamment. Il avait plusieurs égratignures et un œil au beurre noir. Il avait aussi plusieurs bleus à différent endroit. Son dos lui faisait mal et ses jambes tremblaient encore de stress. Il s’adossa contre un mur pour reprendre son souffle et essuya le sang d’un revers de manche. Il prit son t-shirt pour l’appuyer contre la plaie en espérant qu’elle s’arrêterait vite. Tony observa la salle, le gardien était parti pour accompagner l’abrutis dehors, l’homme qui avait prit parti de Tony sans vraiment le défendre fuyait son regard en lui tournant le dos. Tony ne supportait pas voir les gens indifférents. C’est l’indifférence qui tuait l’humanité, c’était l’indifférence qui violait les droits de l’homme. C’était l’indifférence qui étouffait la vie !!!! Tony serra les dents, plus pour éviter de gémir que par colère contre l’indifférence. Plusieurs minutes passèrent et Tony put enfin prendre une douche. Le gardien lui accorda 10 minutes en plus, car il n’y avait plus personne et qu’il avait prit des sales coups. Tony fut ravi à cet instant de s’être battu, s’il pouvait avoir plus d’eau comme ça c’était un bon point. Il ne se battrait pourtant pas chaque fois pour avoir un rab d’eau. Il se déshabilla et pendit ses affaires proprement. Il se glissa sous l’eau gelé et retient sa respiration le temps que son corps s’habitue. Sa tête lui faisait mal mais c’était seconde, il devait faire vite pour se laver correctement. Son corps meurtri par les années n’avait rien perdu de sa jeunesse. Tony était sec, maigre même bien qu’un ou deux muscles soit dessinaient par ci par là, à force de manger et de jouer. Il profita de cette douche, sa plaie à l’arcade s’était arrêté, le contour avec bleuis mais Tony n’y fit pas attention. Il se savonna tout en sifflotant un air de Beethoven. Une fois son temps imparti écoulait, il se sécha avec un bout de serviette qui server à tout le monde. Il prit des affaires propres, enfin autant que possible et les enfila. Il avait un jean assez vieux et usés avec une chemise orange à fleure et par-dessus un pull violet aux rayures jaune. Il mit son blouson beige, qui tirer vers le marron et rangea les autres affaires sans son chariot pour les laver quand il trouverait une fontaine. Il sorti alors du centre aux alentours de 20 heure. Il devait maintenant trouver un coin tranquille pour dormir. Il marcha pendant plus de 3 heures pour quitter les quartiers sales et allait vers son tunnel préféré. Il aimait dormir dans les recoins des tunnels. Tout d’abord car les voitures produisaient de la chaleur et qu’il faisait donc moins froid, en plus c’était en général abrité un peu du vent. Ensuite car il pouvait jouer du violon sans que cela ne dérange personne et enfin car la nuit n’était pas si noir dans les tunnels. Il avait un peu l’impression d’être moins seuls avec tout ce bruit et cette lumière. Il prépara son couché et s’allongea en espèrent ne plus revoir la racaille de ce soir.

    Le jour devait venir de se lever quand Tony ouvrit les yeux. Il fut réveillé à cause des bouchons dans le tunnel, qui rendait l’air lourd et le bruit intenable. Tony savait qu’il pouvait compter sur les klaxonnes du matin pour le réveiller. Il mit un moment à se lever. La bataille d’hier lui avait laissé des courbatures plus importante que les quotidiennes. Après plusieurs minutes, il arriva enfin à bouger sa carasse. Il s’adossa au mur et prit son violon. Comme chaque matin, il prenait soin de celui-ci en premier. Il le nettoyait et grattait les cordes pour le chauffer. Tous les matins Tony avait un moment privilégié avec son ami, son tendre ami depuis des années. Une fois son rituel achevait, il rangea ses affaires pour repartir vers la ville et allait chercher à manger. Il mit encore beaucoup de temps à rejoindre les premiers quartiers. Il prit le temps d’aller en centre ville, il y faisait meilleur. Les gens avaient le sourire dans le centre, les boulangeries et les cafés embaumaient les rues d’une bonne odeur que Tony aimait. Une fois arrivait là bas, il se posa sur un banc et soupira en voyant les gens vivent. Il posa une main sur son violon et sentit alors une personne s’asseoir à côté de lui. Il fronça les sourcils et tourna la tête. C’était Miss Kennedy, une jeune brune qu’il aimait beaucoup. Enfin, il ne savait pas vraiment comment et pourquoi ils s’étaient rencontrés et pourquoi ils continuaient à se voir mais il aimait la compagnie de la jeune femme. Elle était fort belle aujourd’hui pas comme lui avait son œil bleu et son arcade rougit par le sang. Il avait d’ailleurs mit une casquette pour que les gens ne voient pas ses blessures. Certes quand on le regardait de prés, on ne pouvait pas les manquer, ça et les autres bleus et éraflures. Lyzobeth lui proposa un morceau de sandwich qu’il accepta avec un signe de tête. Elle se mit à parler et à lui dire qu’elle avait aimé l’émission de radio hier. Tony ne connaissait pas la radio dont elle parlait. Enfin, il n’avait peut être entendu une ou deux fois mais n’en avait pas de souvenir. Elle ajouta que les morceaux pouvaient laisser à désir mais que ce n’était pas si mal dans l’ensemble. Tony avait mordu dans son déjeuné pendant qu’elle parlait. Il finit de mâcher et d’avaler avant de répondre d’une voix un peu plus roque de l’habitue.

    La musique ne s’écoute pas, elle se ressent. Tu ne peux pas dire écouter…..
    Ce sandwich est très bon, merci….


    Tony avait des phrases incomplète, des idées qui venaient en vrac et qu’il disait en même temps qu’elles venaient. Il ne se posait pas de question quand il parlait. Il ne se prenait pas la tête avec la logique, il parlait comme son esprit pensait.

    Il faudrait qu’une radio passe du Beethoven, je suis sûr qu’elle plairait à tous. En tout cas tout le monde devrait l’aimer…..
    Il fait beau aujourd’hui, c’est bien.

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Lyzobeth Scarlett Kennedy
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MessageSujet: Re: talkative, yes she is talkative, yes she is EmptyMer 5 Mai - 14:08


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      tony &&. lyzobeth
      Sometimes in our lives
      We all have pain
      We all have sorrow
      But if we are wise
      We know that there's always tomorrow


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« la musique ne s’écoute pas , elle se ressent » cette phrase, elle allait la retenir pour sur, même si elle doutait parfois qu’on puisse ressentir certains des morceaux que l’on passait parcequ’elles « plaisaient aux jeunes » et était entrainante, quoique, chaque musique même si certaines paroles peuvent dire « je suis belle, tout les garçons me court après et les filles m’envient », mais après tout , c’est vrai que l’on danse sur ces chansons, que la musique de fond donnent envie aux gens de se lever et donc qu’elle a un temps soit peu de pouvoir, Lyzobeth elle-même danseait la dessus quand elle allait faire la fête…Pourtant , quand elle était chez elle, elle écoutait d’autres sons tous plus diffèrents les uns que les autres, prenez le hard rock et le classique, deux choses a l’opposé, pourtant elle trouvait une certaine force dans les deux, quelque chose qui coupe le souffle, le son d’un violon ou d’une guitare electrique, bien qu’enormement diffèrent , l’enchantait, elle-même jouait du piano et de la guitare (mais plutôt accoustique), ce qui peut être paraissait plus feminin comme instrument même si au fond elle n’en avait que faire…Elle adorait la musique et tout le monde le savait…elle conaissait sa reputation au lycée, elle savait qu’elle n’était pas considerer comme la fille la plus vertueuse et la plus farouche , qu’elle était fofolle sur les bords, qu’elle était du genre a aller parler a des inconnus vagabond dans la rue et même a apprecier leur présence a en être au point de faire de ses « visites » , une habitude…mais elle savait qu’elle était considerer comme une artiste…tout le monde savait qu’elle savait jouer du piano et de la guitare, beaucoup moins étaient convaincu de sa virtuosité, elle n’avait jamais fait preuve en cours qu’elle était capable de beaucoup sur ses instruments, particulièrement le piano ou elle entrait quasiment dans une sorte de transe quand elle touchait le bout des touches, qu’elle laissait ses doigts courirent sur le clavier de façon qu’on pourrait penser hasardeuse mais qui était calculé a la seconde pres, elle aimait entendre ses sons qui sortaient en faite de ses doigts, qu’elle était capable de faire des accords de notes qui se transformaient en melodie puis en chanson quand elle avait l’envie de chanter par-dessus, souvent des sortes de poèmes ou tout simplement paroles qu’elle avait ecrit sur des cahiers au fil du temps, quand elle ne savait pas quoi faire, quand un cours était ennuyeux, quand elle se sentait seule…Ses chansons exprimaient ses regrets, ses joies, ses peines…C’était plus simple de parler de peine parfois, quand un garçon lui avait fait du mal, c’était une sorte de thérapie…mais si il est simple de parler de peine, parler de ses grandes souffrances l’est moins, son enfance en école privée ou elle se faisait enfermée dans les toilettes toute une nuit ou pire encore la mort de sa mère…Quand on voit Lyzobeth, difficile d’imaginer que ce sourire sur patte puisse ecrire , puisse avoir vecu des moments horrible, sa mère lui manquait, et même si elle était considerer comme populaire maintenand, le moindre mot de travers la replongeait dans cette enfance ou elle était ce petit être faible qui ne pouvait se defendre contre l’adversité des autres, qui pourraient imaginer que Lyzobeth Scarlet Kennedy eut-été un jour, tyraniser a l’école…Pas grand monde, pourtant elle l’avait vecu et au fur et a mesure que le temps passait elle était d’autant plus apte a en parler même si a l’heure d’aujourd’hui, elle restait renfermée sur le sujet, il en va de même pour sa mère, c’est un sujet qu’elle n’aimait pas forcément aborder et dont elle ne parlait même pas avec les propres membres de sa famille, elle gardait un silence la dessus, ses amis étaient au courant bien sur, elle y avait dejafurtivement fait referrence mais jamais en approfondi, pour l’instant la seule chose qui était temoin du ressenti de Lyzobeth sur la question, était sur une feuille de papier, des portées, poser dans une pile d’autres feuille, au dessus de son piano, esperant que jamais il ne vienne a son frère, l’idée de fouiller dedans et d’en ressortir la fameuse chanson qui pour l’instant n’avait aucun titre…La jeune femme regarda son voisin de banc , elle hocha la tête comme pour souligner la phrase de Tony, effectivement, la musique se ressentait et ne s’écoutait pas et oui, ce sandwich était très bon ! Tony était lui-même musicien, elle le savait très bien, elle adorait le fait qu’il sache jouer du violon, elle adorait cet instrument qui avait « le pouvoir de prendre aux tripes » comme disait son propre père, elle savait oui que Tony était musicien et c’était a peut prés tout, elle ne le conaissait certainement pas aussi bien que lui la conaissait elle, mais apparamment il l’écoutait et cela lui suffisait amplement….C’était bien de se sentir ecouter, peut être qu’il n’en avait rien a faire de ce qu’elle lui disait, peut être que quand elle repartait il fronçait les sourcils « vraiment les jeunes de Boston sont de plus en plus bizarre », c’était ce qu’elle se disait avant mais cela ne l’empechait de revenir, se disant qu’un jour elle aurait peut être une reponse de la part de Tony…Et cela finit par arriver, confirmation qu’il l’écoutait un temps soi peu…Il avait fallu qu’elle parle de Chopin pour ça…Elle aimait bien Chopin, un compositeur qu’elle respectait enormement…Beethoven aussi, d’ailleurs depuis leur petite conversation la-dessus elle en avait ecouter davantage, étant particulièrement fan de symphonie, la cinquième étant sa favorite.

T’as raison…Même Britney on peut ressentir sa musique !

Elle ne savait pas si il savait qui était Britney, ou alors si il en avait déjà entendu, elle ne visualisait pas vraiment depuis combien de temps il avait perdu son domicile et tout le reste, mais qui sait , elle avait fait parler d’elle après tout…On dit aussi que celui qui aime Beethoven n’aimait pas Britney…certainement vrai, mais Lyzobeth faisait partie de cette espèce etrange d’être humain qui dansait sur Britney et ecoutait Beethoven pour se detendre… Oui c’était possible !

Lyzobeth sourit amuser par Tony, il passait d’un sujet a un autre d’une rapidité folle, après avoir emit Beethoven puis le sandwich, le revoila sur Beethoven puis sur le temps,
Lyzobeth était d’accord pour ce qui était de la radio, même si elle en avait déjà entendu sur des radios de musique classique…Lyzobeth regardait le paysage autour d’elle, il fesait certes un temps magnifique, c’était agréable

Tu sais, cela ne m’étonnerait pas que cela existe déjà…Puis sur les chaines de musique classique, ça page déjà …mais les jeunes n’ont pas l’air d’apprecier…C’est triste…je pense que tout le monde ne prend pas le temps d’écouter… « c’est vieux c’est moche », c’est quelque chose de courant maintenand…Aussi courant que stupide…

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MessageSujet: Re: talkative, yes she is talkative, yes she is EmptyMer 5 Mai - 15:15

    Tony se perdit dans ses pensées un instant. Il pensait à une musique qu’il avait entendu à la radio. Un musique entrainant qui aurait donné envie de danser à n’import qui. Tony n’avait pas dansé depuis, oh depuis des années. Il dansait des fois tout seul, enfin il bougeait les pieds. Il n’avait pas trop l’occasion de danser, ni la force. Il gardait ses forces pour marcher ou se battre. Tony repensait à hier soir et fronça les sourcils en se demandant ce qu’il ferait s’il revoyait la racaille. Si ce dernier n’était pas seul, Tony serait surement mort battu à mort. Tony jeta un coup d’œil à son cadi et vit le bâton clouté qu’il avait. Il devait surement se servir de ça pour se défendre. Tony n’avait pas vraiment peur de la mort mais il ne la provoquerait pas. Il n’avait rien à perdre sur ce monde, enfin son violon et sa passion. Quoi que depuis quelques temps, il avait des connaissances qu’il appréciait. Il ne voulait pas que ces pseudos relation s’arrêtent. Il se tourna vers Lyz et sourit intérieurement. Il la trouvait très jolie et très intéressante. Bizarrement, il aimait être avec elle. Il ne savait pas pourquoi et il ne cherchait pas à comprendre. Il se rendit alors compte, qu’il ne savait pas grand-chose sur elle mais qu’elle en connaissait encore moins. Cela n’avait pas l’air de la gêné, elle n’avait peut être rien à faire de lui. Si elle ne posait pas de question, c’était peut être justement car elle ne voulait pas savoir. Il sorti de ces pensées quand elle lui dit qu’il avait raison et que même Britney ressentait la musique. Il ne connaissait pas Britney, il fronça les sourcils en regardant Lyz. Celle-ci sourit ce qui dérida le front de Tony.

    Je ne connais pas Britney

    Lyz reprit la parole et lui dit qu’en effet, Beethoven passait sur une radio mais que personne n’écoutait. Il naquit dans les yeux de Tony une lueur triste. Il ne comprenait pas comment, les gens ne pouvaient pas aimer Beethoven. Il soupira et retient des larmes. Il était si triste que Beethoven ne soit pas écouté.

    C’est tellement triste….je…..

    Il se redressa pour voir les gens qui passaient et un coup de vent souffla et fit s’envolé la casquette qui cacher les blessures sur le front et l’œil au beurre noir de Tony. Il pesta et se leva rapidement. En se tournant Lyz put voir l’étendu des dégâts. Son arcade ouverte, quelques éraflures et son œil. Tony courut pour récupérer sa casquette. Sa démarche raide mais amusante, fit tourner toutes les têtes. Tony prit son chapeau qui était aux pieds d’un homme d’affaire. Il ne fit pas attention et se baissa pour la prendre. Celui-ci d’instinct lui donna un coup de pied en hurlant qu’on voulait le voler. Tony avait attrapé son couvre-chef juste avant de revoir le coup dans les côtes. Celui-ci le coucha à terre. Il toussa et se tient le ventre avec une grimace.

    Je..c’est ma casquette. C’est la mienne….Elle s’est envolé. Je voulais l’attrapé.
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MessageSujet: Re: talkative, yes she is talkative, yes she is EmptyMer 5 Mai - 16:55


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      We know that there's always tomorrow


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Lyzobeth ne put s’empecher de sourire quand il dit qu’il ne conaissait pas Britney, effectivement , elle qui été élèvé avec une radio et une television allumé tout le temps, elle ne pouvait que connaitre, elle s’était amuser a faire avec son frère : « les aventures de Britney », Britney oublie d’attacher ses enfants en voiture, Britney se rase la tête, Britney et…Bref, Lyzobeth était du genre a se moquer d’elle , mais jamais trop mechamment, mais de toute façon Lyzobeth ne se moquait jamais de personne, elle savait que même si elle les traitait de tout les noms, Britney Spears, Madonna ou Celine Dion n’allaient pas venir lui mettre une gifle, mais elle se souvenait juste de son enfance, quand chacune de ses tenues, chacune de ses actions étaient juger, elle ne supportait pas ça, cela l’avait rendue completement paranoiaque, elle en avait fait des crises d’angoisses et même si maintenand, c’était loin, trop loin, qu’elle était detendu et même très apprécié dans son lycée, il lui arrivait d’y repenser…Cela ne l’étonnait pas qu’il ne la conaisse pas, elle trouvait même cela sympathique, Tony était de ces personnes qui sont tellement passionée par une chose, que le reste importait peu…C’est vrai qu’outre son piano et sa guitare, Lyzobeth sortait, Lyzobeth regardait la télé et faisait autre chose…Mais a l’époque ou elle avait apprit le piano, et certainement la raison du pourquoi elle était si douée maintenand, c’est qu’a une époque, elle n’avait que ça, quand elle était dans ce pensionnat anglais qu’elle jugeait trop sombre a son gout, tout les enfants de riche allaient ici mais aucun ne l’appreciait, elle s’enfermait des heures dans la salle de musique et seule le piano lui faisait penser a autre chose…Quand elle jouait, elle n’était plus Lyzobeth, elle était juste une jeune enfant qui jouait , elle n’était plus une paria de l’école, elle n’était plus celle qu’on avait scotché au mur des toilettes, qu’on avait enfermée dans un placard a balai toute la nuit, celle dont on avait mit la main dans un verre d’eau pendant qu’elle dormait, dont on jetait les vetements par la fenetre… Elle était juste une petite fille parmis tant d’autre, qui se contentait d’apprecier les sonorités de cet instrument si grand et majestueux par rapport a elle, oui elle ne vivait a l’époque que pour ça…C’était son déménagement aux Etats-Unis qui avait remedié a ce complexe d’inferiorité dont souffrait la jeune fille…Mais c’était déjà ecrit : Lyzobeth avait déjà du talent. Lyzobeth regarda autour d’elle, tout le monde la regardait etrangement , c’est vrai qu’après tout, elle était une jeune fille , étudiante, habillé de façon plutôt élégante, a coté de ce sans abri qui lui était accompagné d’un cadie…Lyzobeth detourna le regard, elle n’en avait plus rien a faire de ce que les gens penseaient d’elle ou de qui elle fréquentais…Grand changement par rapport a son enfance, changement dont elle était fière, elle-même était très contente de parler a Tony, il était en faite un peu comme son confident vu qu’elle lui racontait tout ce qui lui passait par la tête, il ne repondait pas toujours, et jamais sur lui, il n’avait peut être pas envie d’en parler, elle avait peur de le froisser, elle ne cherchait pas a savoir…
« Ne t’en fais pas , tu manque pas grand-chose…Enfin je ne suis pas sur que tu aimerais »
C’est vrai que même si il s’agissait du même domaine d’artiste, il n’y avait pas enormement de points commun entre la musique de Beethoven et celle de mademoiselle Spears, bon ils avaient tout les deux du succés, mais elle pariait quand même plus sur la postérité de Beethoven que de Britney ! Lyzobeth se sentit désolée quand elle vit cet air triste sur le visage de Tony, après qu’elle lui ai dit que peu de gens écoutaient reelement Beethoven, elle-même adorait sa musique, même si elle devait admettre ne pas ecouter ça de la même façon qu’elle écoutait du rock, des ballades, du blues ou de la country, il allait alors poursuivre quand un coup de vent survint, apparamment, le temps n’était pas aussi idyllique qu’elle ne le penseait, la casquette de Tony s’envola ce qui l’intérompit dans ce qu’il allait enoncer, il se tourna vers elle, et le sourire que Lyzobeth gardait depuis qu’elle s’était installé sur ce banc disparu aussi vite qu’elle vit le visage de Tony, il n’était pas défigurer mais bien amoché , son arcade sourcilière ouverte, son œil était bleu a cause apparamment d’un mauvais coup et plusieurs egratinures recouvrait le haut de son visage, Lyzobeth resta bouche bée mais lui ne resta pas immobile, il marcha après sa casquette pour la recuperer, si bien que la demarche pour le moins spéciale de Tony attira les regard de la foule, Lyzobeth resta figer sur place, ne sachant pas vraiment quoi faire, elle était encore en train de se demander ce que Tony avait bien pu faire pour se mettre dans cet etat, elle savait qu’il vivait dans la rue, qu’il était peut être ammener a se battre, mais cela lui faisait tout de même mal au fond, de savoir qu’il avait été ammener a frapper quelqu’un, que quelqu’un l’avait frapper lui-même…elle n’était pas grande supportrice de la violence physique , a vrai dire elle n’aimait pas vraiment ça, même si déjà, ses nerfs avaient laché…Elle leva les yeux, et c’est la qu’elle vit Tony a terre, tendis qu’un homme en costume se defoulait dessus en lui donnant des coup de pied, Lyzobeth se leva d’un bond et courru vers les deux hommes, elle s’interposa et jeta un regard noir a l’homme debout

« Vous avez pas honte ! Il veut recuperer ce qui est a lui et vous trouvez pas mieux que de lui faire mal ?! »

Elle l’avait dit en hurlant, si bien que l’homme fut surpris de voir une jeune etudiante, certainement de Harvard, prendre parti d’un sans abri, il ne s’excusa pas mais ne retorqua pas non plus, il se contenta de faire demi tour et de s’en aller tendis que d’autres personnes observait la scène, Lyzobeth se tourna vers Tony et s’accroupi pour être a sa hauteur, elle essaya de l’aider a se relever

« hey…ça va ? Ce sale con t’as pas fait trop mal ? »

Elle continua de regarder ces erraflures qu’ils s’étaient faite avant et qui attirait l’intention de Lyzobeth, elle finit par secouer la tête

« tu veux qu’on aille a l’hopital ? Il t’as peut être cassé quelque chose… »


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Tony Wilkinson
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MessageSujet: Re: talkative, yes she is talkative, yes she is EmptyMer 5 Mai - 18:59

    Lyzobeth lui dit qu’il ne manquait rien de ne pas connaître Britney. De tout façon, il ne voit pas comment il aurait put la connaître. Il n’écoutait pas beaucoup la radio, voir pas du tout. Il entendait des fois quelques musiques quand il était prés des bars mais rien de plus. Il ne regardait jamais la télé, il n’était donc au courant des actualités uniquement par les ragots qui courtent les rues. Et dans ces ragots, il y avait à prendre et à laisser. Tony savait que certains parlaient sans vraiment savoir, beaucoup d’ailleurs. Certes dans le tas, il y avait les visionnaires qui savaient ce qui allait se passer. Il y avait les politiciens qui avaient toujours un avis sur le commerce et l’industrie. Il existait aussi les socialistes et les écologiques avec les extrémistes qui trônaient pour détruire la société et en crée une nouvelle, plus propre et plus digne. Tony, lui, pensait qu’il était inutile de crée une nouvelle société, les Hommes ne changeraient pas. Tony voyait les SDF comme une société et cette société n’était pas mieux que le monde lui-même. Les gens n’étaient pas plus gentil, ni plus altruiste. Si déjà dans un petit comité comme celui-ci, la paix ne régnait pas, ça ne marcherait jamais sur un groupe plus grand. Peut être au final la société n’était pas si mauvaise.
    Non Tony ne pouvait pas se résoudre à croire que le monde dans lequel il vivait été le meilleur qui soit. Il était sûr au fond de lui que l’Humain pouvait être bien plus qu’un simple mouton suivant les règles. Le vent vient interrompre l’échange avec Lyz. C’est en récupérant sa casquette que Tony se fit violement agressé. Ce n’était pas la première fois, il avait l’habitude et savait comment se protéger des coups. Malgré tout il sentait la douleur dans son ventre le tirer de chaque côté. Tony se redressa quand il entendit hurler la jeune fille l’homme d’affaire. Celui-ci indifférent parti sans une excuse, les gens autour n’avaient pas l’air d’être contre cet homme, puisque tous partir en même temps sans se soucier de Tony. Ah un SDF ne valait pas un homme actif dans la société, c’est normal que les gens ne s’occupent pas d’un vieux crouton. Tony n’en tenait pas rigueur aux spectateurs, il comprenait qu’ils n’avaient pas envie de l’approcher. Certes il s’était lavé hier mais ça personne ne le savait. Bref Tony prit la main de Lyz qui l’aida à se relever.

    « hey…ça va ? Ce sale con t’as pas fait trop mal ? »

    Il a eut peur c’est tout. Non rien de grave. J’ai juste mal au ventre. Merci Miss Kennedy

    Tony jeta un coup d’œil à son chariot pour vérifier qu’il était toujours là. Il regarda la casquette et vit alors le regard de Lyz sur son visage. Il comprit qu’elle regardait ses blessures. Il baissa la tête et joint ses mains devant lui en ayant honte. Il ne voulait pas qu’elle croit qu’il s’était battu pour le plaisir. Il ne voulait pas qu’elle pense du mal de lui, ce qui est étrange car d’habitude, il n’avait que faire du jugement des gens. Il leva la tête et vit qu’elle se reprit pour lui demander s’il voulait aller à l’hôpital.

    Oh non, je n’ai pas d’argent pour l’hôpital et puis je suis sûr qu’il n’a pas frappé assez fort pour me casser quelques choses. Tu sais ces blessures ne…..C’était pas mal faute. Un gars harcelait une femme devant les douches, je ne pouvais pas rester sans rien faire…Tu comprends ?

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MessageSujet: Re: talkative, yes she is talkative, yes she is EmptyJeu 6 Mai - 17:59


    talkative, yes she is Robert-by-lidi-24
    talkative, yes she is 001etxz9


      tony &&. lyzobeth
      Sometimes in our lives
      We all have pain
      We all have sorrow
      But if we are wise
      We know that there's always tomorrow


.


Lyzobeth se mordit la lèvre inférieur, elle regarda Tony, se sentant un peu mal pour lui…Même très mal pour lui, elle s’en voulait de ne pas pouvoir plus l’aider…Elle pourrait lui dire de venir chez elle et ce qui s’en suit, mais elle savait ce que son frère en penserait et ce qu’il ferrait, elle savait aussi que son père ne laisserait pas passer ça, néanmoins, pour l’instant, elle se disais qu’elle aimerait l’aider mais elle se sentait impuissante, elle se contenta pour le moment de l’aider a se relever, Tony lui dit alors que l’homme avait certainement eu peur, elle comprenait mais elle ne trouvait pas une raison pour le frapper si violamment, elle-même n’était pas du genre a frapper quelqu’un , enfin elle s’était déjà montrer violente, mais disons que quand on commence a lui tirer les cheveux pour un sac le jour des soldes, elle avait tendance a s’enerver devant la nullité du geste aussi puérile qu’inutile vu que c’était bien Lyzo qui était repartie avec le fameux sac… Lyzobeth essaya de se mettre a la place de Tony, il ne devait pas avoir une vie facile, même tout le contraire et cela la desolait…Elle n’en était aucunement responsable, bien au contraire, elle était même une de ces personnes qui ne prenaient pas les sans abris pour des sous êtres…D’ailleurs, elle ne comprenait pas pourquoi on les considerait de la sorte, vu qu’apparamment ils étaient beaucoup plus debrouilliard que la moyenne et arrivait a vivre de rien et de la misère…Confisquer le téléphone de Lyzobeth et elle piquait une crise (c’est d’ailleurs en faisant cette comparaison qu’elle se sentait un peu honteuse), bref, Lyzobeth se sentait coupable d’avoir vecu une vie particulièrement confortable. Elle regarda l’homme qui avait frappé Tony aux cotes, celui-ci s’éloignait, mais elle était toujours degouté de son attitude, comme elle l’étais des personnes autour d’elle, il la regardaient comme si son attitude, de s’enerver contre la personne était insancé, c’était eux qui aux yeux de Lyzobeth était denuée de sens et de cœur, voir une autre personne en difficulté ne leur faisais ni chaud ni froid apparamment et c’était triste. Peut être qu’autrefois elle était comme ça après tout, avant qu’elle n’aille s’asseoir pour la première fois a coté de Tony, il y a de cela quelques mois, il lui arrivait quelques fois bien sur de donner sa monnaie a quelqu’un de démuni a la sortie d’une supermarché mais cela n’allait pas plus loin…Tony, elle était aller s’asseoir a coté de lui et elle ne savait pas pourquoi, il lui avait inspiré confiance, il aurait pu être un psychopathe, la prendre au cou et lui faire du mal d’une quelconque façon, elle aurait pu regretter toute sa vie d’avoir eu cette idée d’aller parler a un sdf inconnus…Mais non, la jeune femme a l’heure qu’il était, elle se disait qu’elle avait bien fait, bien sur, avant elle ne faisait que parler elle-même, faisant en quelque sorte de Tony une sorte de psychanaliste silencieux (quoiqu’elle preferait les silences de Tony qu’un « et qu’avez-vous ressenti a cette periode ? » qui était propre aux personnes de la profession), il avait fini par lui repondre et c’était desormais davantage des conversations qui allaient entre eux…De plus, et elle ne savait pas vraiment si il l’avait remarqué, elle avait commencé a se faire des films sur elle et Tony, cela ne faisait pas très « Hollywood story » ce genre de scenario ? La jeune etudiante promise de Harvard, qui commençait a avoir le beguin pour le sans abri plus vieux qu’elle ? Oui il y avait des chances que les ventes du dvd et les academy award soient de la partie, mais la il s’agissait de la vrai vie, heureusement, Lyzobeth c’était (en quelque sorte) calmée avec cela…D’ailleurs, Lyzobeth avait du se calmer avec la gente masculine en générale, si elle ne voulait pas se payer une reputation assez vilaine au lycée, comme toute ces filles que l’on n’appelle que pour être sur d’avoir quelque chose dans son lit le soir…Non, Lyzobeth n’allait pas être l’une d’entre elle pour sur.

Tony lui expliqua alors ce qui s’était passé avec les personnes qui l’avaient bléssé au visage, Lyzobeth ne put s’empecher de sourire lègèrement, elle trouvait ça honorable de sa part d’avoir fait ça, elle en conaissait beaucoup qui serrait rester dans le silence et aurait laisser faire, par peur ou autre chose, elle n’en savait rien, mais le comportement humain des derniers temps, la surprenait de jour en jour …Quoique …était-ce vraiment seulement ces derniers temps ? Elle n’en était pas tout a fait sur. Elle accompagna Tony s’asseoir sur un banc proche de ou ils étaient

« Et en plus t’es un vrai heros ma parole ! Je comprend tout a fait….Mais tu sais pour l’hopital…Je peux toujours payer moi si il t’as blesser…de toute façon, ne compte pas sur moi pour te laisser dans un sale etat »

Elle le regarda essayant de discerner dans son regard ou dans ses mimique, de la douleur qui la pousserait de l’emmener a l’hopital…de pleins gré ou non…Quoique vu leur carrure diffèrente, elle ne savait pas si elle arriverait a le convaincre si il n’était pas d’accord pour se faire soigner…Lyzobeth regarda alors sur le coté et remarqua le caddie de Tony qui était resté a coté de leur banc d’origine, elle se leva et se dirigea la bas pour le chercher, après tout c’était les seuls bien de Tony, elle ne voulait pas qu’on lui prenne, elle le poussa, vers leur nouvel emplacement

« comme ça t’es sur qu’il reste avec toi ! »

Dit-elle une fois qu’elle fut arriver devant lui avec le caddie



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MessageSujet: Re: talkative, yes she is talkative, yes she is EmptyDim 9 Mai - 23:56

    Tony vit s’asseoir avec Lyz et elle dit qu’il était un héros. Ce dernier rougit étant gêné et touché par ce compliment. Lyz lui proposa de payer l’hôpital mais le SDF refusa d’un signe de tête rapide. Non, il n’était pas question qu’elle dépense des sous pour lui, surtout pour le faire soigner. Il n’avait rien et même s’il avait quelques blessures il irait mieux dans quelques semaines. Il n’était jamais aller chez le docteur et ce n’était pas aujourd’hui qu’il allait commencer. Il était bien passé entre les mains de pys pour ces soucis mental mais aucun n’avait comprit comment le soigner. Il savait ce qu’il avait mais aucun remède n’était possible, si non jouer et jouer encore au violon. Elle ajouta qu’elle ne le laisserait pas dans un sale état. La jeune brune se leva et se dirigea vers le caddie. Tony se leva d’un coup sec et bondit vers Lyz, il ne savait pas ce qu’elle comptait faire mais il était inquiète. C’était sa maison et il ne voulait pas trop que d’autres personnes le touche mais il vit que l’étudiante l’amena vers eux. Tony se figea et retourna sur le banc. Lyz devait être la première personne à avoir posé une main sur son caddie sans qu’il l’attaque. C’était une preuve de confiance absolue. Il se dit qu’elle avait du mal prendre le fait qu’il la surveille autant avec son chariot. Il entreprit de s’excuser.

    Pardon pour ma réaction mais…C’est mes seuls biens, c’est ma seul maison. Je suis inquiète pour un rien….Merci Lyzobeth.


    Il l’observa et senti dans son cœur un pincement. Intérieurement il trembla en sentant un petit vent. Tony finit son sandwich et prit le violon qu’il avait gardé sur ces genoux. Il le prit dans ses mains et jeta un coup d’œil à la brunette avec un sourire. Il prit son archer et le caressa un moment. Il fut prit dans une sorte de transe dans laquelle il ferma les yeux et sentit la vibration du bois, la vibration de la corde. Il sursauta en sentant le souffle de Miss Kennedy. Il se positionna et se mit à jouer quelques notes. Il savait que la jeune fille écrivait des musiques. Elle lui avait dit qu’elle était toujours entrain d’écrire. Elle lui avait dit beaucoup de chose, elle avait peut être pas soupçonné qu’il écoutait mais c’était le cas. Il se mit à jouer une musique que la jeune fille devait surement connaître, un ancien air d’une chanson connu il y a quelques années. Il comptait en fait qu’elle chante sur l’air qu’il lui proposait. Il n’avait jamais fait cela avant mais il voulait tellement entendre la voix voluptueuse de la jeune femme. Il jouait sans regard son violon, il avait les yeux river sur Lyzobeth en attendant la moindre note de sa part pour ajuster sa gamme sur la voix et la vitesse de chant.


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